Et une avalanche de mots....

Bienvenue sur Terre !

Je voudrais pleurer
M'enfuir dans la seconde
Ne pas me retourner
Mais ma peine abonde
Coeur assoiffé d'espoir
Mon chagrin est dérisoire
Il n'est que le miroir
D'une mélancolie noire
Qui nous prend à la groge
Et nous injecte son spleen
Une bien dure réalitée
Dans la cour comme à l'usine
On s'accroche à nos rêves
Et on visite la chaussée
A la misère pas de trêve
C'est à prendre ou à laisser

Je voudrais pleurer, mais la mer de mes larmes se noie
dans un torrent d'absurdités.

Bienvenue sur Terre...

J'ondule mon corps
Fait virevolter mes cheveux
Mon âme s'envole
De ce monde désastreux
Je poursuis ces battements
Et déverse tranquillement
Mes pensées en dansant.

Comment fait-on pour supprimer un message ?

J'ai mal à mon espoir
Je meurs du vide de ton regard
Une perle salée roule
Et c'est tout un empire qui s'écroule
Ombre noire sous le Soleil
Tu te glisses dans mon sommeil
Dévores mes rêves de ton sourire
Eclabousses mon âme dans un soupir
J'ai mal à mon espoir
Les désillusions sont cauchemars

Pour mon grand-père :

Je voyage au gré de mes envies,
Dans ce monde dont je suis épris,
Je cours les sentiers sauvages,
Je respire le vent du large.
Un temps qui nous talonne,
Des souvenirs qui s'échelonnent,
Et se gravent en ma mémoire
Éternels tourments de mon histoire.

Je voyage...

Qui es-tu petite fille?
Bateau ancré dans la baie du passé?
Ou voilier voguant vers les rives du futur?
Mais toi, le sais-tu?
J'ai peur que non.
Quand daigneras-tu avancer sans regretter?
Tu peux me jeter ta haine à la figure,
Ta rage et tes regrets,
Tu ne cacheras pas à ton âme,
Où,
Et quels sont tes torts,
Car chaque jour tu ris,
Tu souris,
Mais, crois moi,
Je suis bien placée pour te dire,
Qu'on peux tout cacher derrière un sourire,
Tout, même l'envie de mourir.
La flamme qui se consumait jadis dans tes yeux,
A cesser de briller,
Il y a un temps déjà,
Et ta bonne humeur s'est fanée,
Je ne t'aimes pas,
Mais ta vie est un enfer,
Depuis que nous avons quitté tes terres,
Tu tentes de leurrer ton monde,
Je te connait trop pour mordre à l'appat,
Trop ou pas assez,
Mais ta douleur je la vois,
Elle illumine comme un phare,
Nos actes,
Tu m'en veux petite fille,
Mais je veille sur toi,
Et j'espere que tu le comprendras...

Rolling Eyes

Dans chaque flamme,
Dans chaque feu,
Je vois une promesse,
Dans un écrin rougeoyant,
Je vois l'écume, le vent,
Un lendemain aux abords mordorés,
Un cri de joie,
L'odeur pure de la mer,
Qui revient,
Inlassable,
S'écraser sur les rochers,
Le soupir de la lame,
Qui fend l'air,
L'écarlate,
Qui semble dire,
A toi le trésor,
Les coups de roulis,
Souvent dus aux chopes en trop,
Plutot qu'à l'océan en furie,
Je vois en chacune des gouttes de pluie,
Le souvenir,
D'une vie,
Que j'ai fuie,
Pourtant,
Quand les regrets se font trop pressants,
Encore,
J'inspire,
Et mon navire n'est plus si loin,
Juste caché,
Dans une baie de mes pensées,
Ou quand je voudrais,
J'irais l'y chercher,
Et sur toutes les mers,
Le pavillon flottant aux vents,
Chanter ma liberté,
Pour offrir ma vie,
A ce que j'ai toujours été,
Princesse des corsaires,
Louvoyant sur les océans,
Brisant par trop souvent le coeur de mes amants,
Mais pirate par tout temps.

Nan nan, Mary Read me tape pas du tout sur les nerfs Razz

Comment te dire ?

Une coquille vide
Je suis
Un esprit deserté de ton regard.
J'ai grandi dans ton ombre
J'ai germé dans ton abscence.
Mes permiers pas
Je les ai fait
A tâtaons derrière toi.
Aujourd'hui je danse de désir
Comme une fleur éclose
Aux jardins des mille plaisirs
Je croque dans l'interdit
Et je ris à chaudes larmes
De ma mémoire nébuleuse
Nuage incandescent d'espoir
Morceaux intemporels
D'un passé refoulé.
Le rideau se ferme
Et tu quittes
Indéniablement
La scène.

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Messages : 30 Date d'inscription : 15/10/2010 Age : 24 Localisation : poney-club

oh la vache!!! Shocked

t'en a fé plein Shocked

» Glissement de la plume, qui transmet les mots chuchotés par les murmures du vent...