Bon j'ai plein de chose à vous dire :
1- Je part en vacances demain matin donc vous n'aurez pas le chapitre 6 avant longtemps, dsl
2- Ce chapitre est encore, une méga dédicace à plusieurs personnes
3- Merci de continué à me lire:study:
4-
5-"Eleftheria Stis Alysides" = les chaines de la liberté (en grec)
et Huimang Gwa Jayu = Harmonie et ....je sais plus trop quoi (dsl) (en Japonais)
6- Mais tout d’abord, voici le chapitre 5 !!!
7-Bonne lecture
Chapitre 5
Quant à l'idée d'aider Thomas à traverser l'Égypte plus rapidement,
personne à part Claire et son compagnon bien sûr, ne se seraient doutés
d'une telle énormité concernant la solution. Et pour une fois ce pas elle
qui prit la parole mais Huimang. L'homme lui expliqua d'abord qu'avec
ses nombreuses « rencontres » professionnelles, il avait réussi à entretenir
des relations plus que favorables dans certains domaines; lui permettant
ainsi de combler sa femme de bonheur. Comme celui des armes et autres
engins. Il nous demanda par la suite de le suivre dans sa voiture. Nous
fit monter et nous embraquâmes Thomas et moi-même pour une destination
inconnue. Mais j'y pense je ne vous ai toujours pas dit mon petit nom,
Oui, c'est pas drôle sinon. Mes collègues m'ont surnommé Eleftheria
Stis Alysides parce que je suis libre comme l'air et aucune chaîne
ne m'attachent à la vie. Le seul événement qui s'est lié à quelque
chose est ma curiosité pour cette soif de quête, de rebondissement,
ce mouvement continu de péripéties et une position instable
laissant planer le doute et la confiance. Mais appelez-moi «Aly».
Arrivé à destination d'un hangar, non loin du Nil, où un comité
d'accueil « très charmant », constitué d'hommes en combinaison
plus que louche et d'autres en costard-cravate; armes à la main. Ils
surveillaient l'entrée tels de gros chiens mal léchés. Leur air maussade,
ne montrant aucun signe d'intérêt, aussi bien à nous, qu'à ce qu'ils
étaient ne m'inspirait que peu de sympathie à l'égard de ces regards
si antipathiques. Thomas réagit d'une expression lisible au mouvement
bref de ses pupilles mais significatif et clairement descriptible comme
similaire à la mienne. Nous passâmes donc le gang des vautours qui
n'aurait fait qu'une boucher de moi, pauvre Aly de 3 cm et du bel homme
qu'était Thomas. Une grande salle s'ouvrait à nous, abîmé par ce que je
pensais être d'anciennes explosions, aux marques grisaillant les murs de
la lugubre salle.
Mais dans ce lieu étrange un détail privilégia notre attention,
tout comme notre admiration. La réflexion qui animait la flamme d'intérêt
en nous deux fût cet espèce de gros vaisseau ressemblant plus à une boite
de conserve assez fine. Ce « truc » me laissait perplexe, indescriptible.
Il me vola plusieurs de mes pensées qui partir en fumée, ne tolérant à mon esprit
qu'une sensation de néant et de suffocation. Moi qui avait toujours su tout sur
tout je me détenais devant un instrument sorti de Matrix; une centaine de fois
plus grand et plus futuriste que moi.... cela me tétanisait. Mon caractère sachant
bondir sur toute les situations, me fit comprendre que mes deux condisciples s'étaient
éclipsés, je les rejoignais de suite avec hâte d'une nouvelle ascension spectaculaire.
Huimang avait commencé la déclaration du siècle s'arrêtant devant l'objet. Il
élucida le mystère qui planait sur nos tête, nous disant que l'armée en avait été la cause.
Avec facilité et fluidité ainsi qu'une connaissance du sujet plus qu'apparente, il nous
citait plusieurs dates. Comme celle du 20 décembre où l'engin fût breveté, celle du
21 novembre date à laquelle un des satellites du projet à découvert une nouvelle étoile.
Depuis que les premiers films de science fiction ont fait face aux esprits humains,
nous avons toujours voulu construire des vaisseaux spatiaux ou quelque chose
qui s'y rapproche. Tout comme le « LapinFlo », en plus quel nom étrange pour
une structure d'une telle envergure et d'une telle classe. Ils en avaient découvert
trois de ce genre, intactes attendant de pouvoir voler de leurs propres ailes. Mais
Huimang nous avoua que la seule personne à avoir réussi l’exploit de faire décoller
ces petits bijoux c'était sa douce Claire. Il était prêt à convaincre ses supérieurs de
nous laisser faire au moins l'aller sans confirmation pour le reste. Thomas exprima
d'un simple regard, une visible admiration pour son beau-frère si déterminé. Prêt à
risquer ce qui le faisait vivre, ce qui préservait sa vie et celle de sa famille; pour
un combat encore inexistant il y a quelques temps mais qui avait bien muri.
Notre jeune instructeur en herbe semblait tellement dans son élément...s'en était
troublant, on aurais presque cru à un soldat qui défendait l'honneur et les principes
de son pays là où il s'agissait d'une machine. Cet élément comptait beaucoup à ses
yeux, c'était en quelque sorte son deuxième « enfant ».
Après de longues heures, l'oreille attentive au débat intriguant de Huimang et
aux propos techniques plus qu'improbables pour notre cerveau. La nouvelle tant
attendue arriva enfin... mais ce n'est pas une bonne annonce qui arriva mais deux
merveilleux événements. Claire accourait vers nous, se précipitant malgré le petit
ventre fragile qu'elle portait. Son conjoint lui lança un cri plaintif, lui demandant de
veiller à sa progéniture, coupant net l'élan pourtant si léger de madame.
Elle entraîna son époux dans un endroit ou l'ouïe de Thomas ne pourrait percevoir leur
débat. Heureusement, moi je suis plus discret, faiblissant mes battements d'ailes et cédant
au mode planeur, je fis un atterrissage réussi sur l'épaule de la futur maman. Jouissant
alors de mon avantage, j'avalais donc leurs paroles avec aisance. Ils discutaient ou
plutôt se querellaient. Elle avait écouté la proposition que Huimang proposa à son
petit frère. Lui était d'accord mais ne voulait pas risquer la vie de ses trois bébés.
De longues minutes passèrent, je pris la rapide décision de laisser les tourtereaux
se voler dans les plumes et accorder à mon estomac ce qu'il désirait tant.
Autrement dit, il y avait sous un porche un chat mort en
décomposition et le jus émanant de ses intestins plus que pourris, délabrés
et en putréfaction complète me faisait particulièrement envi... Je me précipita vers
l'animal sans vie pour aspirer ce fluide, ce nectar, ce délice coulant gracieusement
des parois de son corps si sec. Mon dessert se composa, lui, de la solution gluante
logé dans un opercule tari d'une humidité qui fut sûrement autrefois permanente, les
yeux. Lors de cette dégustation délicieusement agréable, une sensation de terreur
m'envahit, en l'espace d'une fraction de seconde j'eus l'impression qu'un monde
s'écroulait, une sensation de disparition. Comme si on perdait, on voyait partir quelque
chose au loin, quelque chose qu'on ne pourrai pas retrouver.
Un sentiment d'impuissance pour faire cour.
Cette perception fut justifié, quand le quart de seconde d'après j'attendis
le cri sourd de Huimang en direction de Claire. La jeune damoiselle s'effondra,
avec la grâce d'une plume effleurant le sol. Une foule de gent, y comprit Thomas
ce précipita au chevet de notre malade.
Les deux hommes la laissèrent entre les mains des quelques médecins,
ils attendirent, attendirent, attendirent. Le verdict tomba enfin, le stress
avait compliqué la grossesse et il fallait la faire accoucher maintenant mais
avec un risque d'hémorragie interne. Le, pourtant téméraire, tueur à gages
senti son coeur se fendre en deux, s'en voulant à mort. Les médecins partir, têtes baisser …
Thomas, Huimang et moi en firent de même. Ils conversèrent, longtemps je perçu une parti du dialogue:
-« Tu sais mon vieux, ça ne fait pas beaucoup de temps que je la connais.
Mais je sais avec certitude qu'elle va s'en sortir et même si un voile noir
recouvre ton coeur, L'endroit le plus sombre est juste sous la bougie qui
héberge la chaleur de vie qui crois moi laissera des empreintes sur le sable du temps.
-Merci, pour tes belles paroles mais ce n'est pas elles qui me la ramènerons en
pleine formes avec le fruit de nos entrailles dans les bras.
-Messieurs, si vous voulez la voir avant l'opération, lui parler encore une fois...
c'est maintenant.
-Oui, bien sur. » dit dans un grand désespoir le jeune homme.
Nous entrâmes dans la pièce, une infirmière prit la direction inverse et sortit de la chambre.
Elle était là, belle comme jamais, Claire aurait voulu mettre au monde son bébé en Corée
du Sud, à la place elle offrira la lueur d'une naissance qu'il faut découvrir et aimer lorsque
la lune vole la lumière du soleil pour border le ciel de milliers d'étoile pareille à cet enfant.
Un coucher du soleil dans la faible chaleur encore perceptible sera l'endroit où ce petit
être marquera la première trace de son existence.
-« Mon amour, si les larmes étaient des perles. Je les garderais pour les offrir à notre enfant.
Il verrai l'amour que nous lui portons. Mais, lui, laissera des traces; en vain coulent tes
larmes. Cet enfant que je veux faire naître, c'est comme une nouvelle édition du monde.
Prend en soin si je ne te reviens pas.
-Tu me reviendra, tu es ma femme et si tu quitte ce monde, mon coeur te suivra.
-Arrêter tout les deux je vous interdit de dire des choses pareilles....»
.... A suivre ....
Dès que je rentre c promit je me met au travaille (de suite)