Voici une petite une histoire écrite au comptoir des songes...
(Si ça vous plaie je posterai la suite...
)
Un jour, sur notre planète (si mal traiter par la race qui la domine),
plus de 200 attentats kamikazes similaires furent explosés toutes les
centrales nucléaires du monde, se qui engendra le plus gros nuage
radioactif jamais connu. Si grand qu'il engloba la terre!
Cette catastrophe majeur atrophia tout être vivant présent sur la planète.
Deux années passèrent et les particules atomiques disparaissaient de plus
en plus rapidement et un jour, comme par enchantement, sans que personne
ne comprenne pourquoi ni comment, le monstrueux cumulus laissa place au
réveil de ce qu'il avait fait sombrer dans la plus noir des nuits.
Seulement 0,001/10 de la population survécu.
Les maladies s'accumulaient,
les meurtres, les viols, les graves traumatismes physiques,
et autres complications en tout genre rendait la vie difficile
au rescapé de ce qui reste de la terre. La peur est et restera
le plus dangereux sentiment humain.
Ce récit ce passe après cet apocalypse universel.
Mais même suite au relèvement des êtres vivants une question qui
donne mal à la tête persiste encore et toujours en l'esprit des
homo sapience :
QUEL SECONDE,
DE QUELLE MINUTE,
DE QUELLE HEURE,
DE QUEL JOUR,
DE QUEL MOIS,
DE QUELLE ANNEE,
SOMME NOUS?
Quelqu'un a répondu à cette question.........
Chapitre 1
Après le grand réveil, la vie se remettait en place petit à petit.
Dans un premier temps, dans la plupart des groupes de réfugiés,
un chef se désigna puis certains groupes se rencontrèrent formant
des ensemble encore plus grand avec de plus en plus de personne.
Les choses reprenait leur cour et bientôt des couples se formèrent et
des enfants en naquirent.
J'eus la chance d'assisté à plusieurs événements d'une grande importance.
Mais l'homme n'est pas l'espèce qui se releva le plus vite de cet incident majeur,
les plantes tout d'abord suivi des hommes puis de nous et pour finir le reste des espèces animal.
Ce récit est introduit par l'enfantement d'une petite fille nommée par ses parents: Jill...
Ce soir là, j'étais présente dans un coin de leur abri, cherchant
un peu de nourriture en décomposition. La femme était d'une grande beauté.
Ses yeux semblaient plus profond que ce qu'ils appelaient l'océan et
ses long cheveux, eux, éblouissait même la plus petite source de vie.
Le père, lui, était assez maigre, de taille moyenne, athlétique et robuste.
Leur union avait déjà donner vit à un petit garçon avant Jill.
Son grand frère s'appelait Thomas et avait 8 ans de plus qu'elle.
L'histoire débute lors de l'anniversaire des 14 ans de cette dernière.
Pour l'occasion, elle s'était paru de ses plus beaux habille.
Ses parents avait préparé un festin de roi, du lapin datant d'au moins
deux jours,cru , mais c'était mieux que rien...
Malheureusement sa maman souffrait d'une maladie courante aujourd'hui mortel;
la rhinopharyngite. Il ne lui restais visiblement plus très longtemps à souffrir dans
ce monde délabré par la bêtise humaine. Elle donna à sa fille une petite boîte contenant
quelques que une de ses affaires personnels d'avant l'incident. A l'intérieur se trouvait
son alliance, un morceau d'un tissu de soie brodé de dentelles et le toute fait à la main
par ses soins; son journal intime, un bonnet en laine blanc et un collier dont le pendentif
est en forme de téléphone. Quelque instant plus tard la jeune femme succomba de son virus.
Commença alors une longue période de culpabilités, de pleurs, de tristesses et de remords...
Nos trois rescapés se lamentais encore sur le sort de leur regrettable femme pour l'un et
mère pour d'autres.
Mais une famille est comme une chaîne dont chaque maillon se soutien mutuellement.
La plus belle union est celle d'une famille heureuse et aimantes à jamais.
Excusez moi cinq petite minute, je sèche les larmes de mes milliers d'yeux sinon
je vais mouiller mes ailes.
Bref, quelques temps après ce drame, Jill se plongea dans les souvenirs enfuis
de sa bien aimée mère. En débutant par enfiler son bonnet et son collier. Par la suite,
elle dévora le secret du petit carnet maternel.
Elle se rendit peu à peu compte que se maman écrivait à l'intérieure de ce livret
depuis l'âge de ses 16 ans jusqu'à ce qu'elle accoucha de Thomas. Puis Jill tomba
malgré elle sur une certaine page où y figurait ceci :
Cher journal, 19/02/1992
Aujourd'hui j'ai découvert que maman rédigeait aussi un petit
brouillon de son existence et depuis ses 10 ans!
Elle numérote chaque jours et explique ce qu'elle y fait,
c'est trop drôle!!! Désolez je dois y allé mon nouveau petit copain
m'attend dehors(il est trop mignon).
Ps: Il à dit qu'il n'emmènerait au cinéma samedi prochain... Elsa
Une idée génial fusa alors dans la tête de notre jeune et délicate adolescente.
L'ampoule allumé au dessus de son crâne pourvut de cheveux au
couleur de ceux que portaient sa maman; s'illuminait à la pensée que le
cahier de sa grand-mère pouvait contenir la dernière date avant l'attentat.
Jill se senti soudainement envahi par le sentiment de pouvoir résoudre le
problème universel du temps. Non, bien sûre, elle ne parlait pas du temps
météorologique mais le temps qui nous détruit à petit feu et qui nous rappelle
sans cesse que nous existons.
Mon grand-papy dit le jour où il avait quitter cet univers; une petite partie d'un
poème qu'il avait entendu dans sa jeunesse:
« Le Temps, toi, Seigneur, tu possèdes
Ta propre immortalité !
Tout le bonheur que tu cèdes
Accroît ta félicité !
Tu dis au soleil d’éclore,
Et le jour ruisselle encore !
Tu dis au temps d’enfanter,
Et l’éternité docile,
Jetant les siècles par mille,
Les répand sans les compter !
Les mondes que tu répares
Devant toi vont rajeunir,
Et jamais tu ne sépares
Le passé de l’avenir ;
Tu vis ! et tu vis ! les âges,
Inégaux pour tes ouvrages,
Sont tous égaux sous ta main ;
Et jamais ta voix ne nomme,
Hélas ! ces trois mots de l’homme :
Hier, aujourd’hui et demain ! »
Ce très beau poème m'inspira beaucoup dans le récit de cette histoire
et vous voyer on crois que les mouches n'ont pas mémoire et bien c'est faux!
Vous croyez quoi ? Quand le jour vous faite de nous vos victimes alors que
nous souhaitons juste vivre et nourrir notre famille comme vous. La nuit venons
vous punir et même si la plupart du temps nous échouons, il arrive qu'un meurtrier
d'insectes se retrouve un matin avec des larves dans les orifices. Pensez à regardez vos oreille ! (bien fait)
Jill se mit en tête de retrouver le mystérieux ouvrage.
Ne mettant personne au courant de son départ, elle se résigna à informer la seule
personne qu'elle affectionnait plus que tout, autrement dit, son frère: Thomas.
Celui-ci portait une compassion réciproque à sa sœur et ne voulu la laisser partir
au contact du danger. Les gens étaient devenus agressifs et Thomas savait
pertinemment que maintenant dans l'esprit des personnes c'était une pensée
individuelle et chacun pour soit qui avait prit le dessus. Il décida de l'accompagner
dans son périple mais d'abord par où allaient t'ils commencer. Quelles pistes avaient ils ?
Leur seul indice était l'ancienne adresse de leur défunte grand-mère.
Il fallait donc s'y rendre au plus vite sans l'accord paternel. Au même moment,
il leur annonçait son départ au cimetière le plus proche (six jours minimum pour quelqu'un à pied)
pour enterrer dignement le cadavre de sa femme. Cette grande surprise tombait bien pour ces amateurs d'aventure.
Ils partiront demain à l'aube après le départ de leur père. Pour l'instant le programme se
résumait à aller dormir. Moi je finis les restes du repas en essayant d'éviter les toiles d'araignées.
...