Vos romans...

Propose que puisque vous pouvez suivre L'illogique d'Elina sur un autre sujet vous pourriez nous faire partager vos histoire, début de romans jamais terminé et prologue sans fin, ainsi vos esquisses seraient lu et ppurquoi pas terminées par le plus grand nombre des forumeurs....

Je cours, je cours sans reprendre mon souffle, je ne peux pas, je ne dois pas m'arrêter...Ce n'est pas une course contre-la-montre, c'est une course contre la mort. La plaie n'en finit pas de saigner, me vide de mes dernières forces...Mon dos me fait mal, les coups ont été compté, un à un, il y en a eu 20, au bâton, il ne faut pas que je m'arrête, je ne peux pas mourir ainsi, ce serait trop bête, et pourtant, je suis pris dans une toile d'araignée, je n'ai aucune chance...Je m'effondre, mes jambes se sont dérobées, mon dos crie gràce...dans le bois autour de moi, on ne distingue rien, rien que l'obscurité oppressante de la nuit, à moins que ce ne soit les larmes qui brouillent ma vision...Je sens les doigts fins et glacé de la mort se glisser entre mes omoplates, ce soir sera ma dernière danse, je le sais, je n'ai pas peur...Soudain un craquement, je ramasse un bâton, et me relève, mon cri perce la nuit: ma cheville vient de craquer...Ils approchent, je le sens, je les attends, la douleur vrille mon dos, je passe pour la dernière fois la main dans mes cheveux, elle est pleine de sang....En l'espace d'une petite seconde, ils furent devant moi, épées à la main, côte à côte, pour mon ultime combat...
Ils ont tout calculé, ils savent ou ils doivent frapper, ils se déploient dans un geste mille fois répété, dans le seul but de me tuer, je suis encerclé....J'attends, soudain un sifflement m'indique que l'attaque a commencé, la lame s'enfonce dans mon dos, au niveau des reins, j'hurle, mais je ne bouge pas...Tout se passa très vite dès lors, l'homme de mon côté gauche, frappe dans mes côte, et celui en face de moi, plonge sa dague dans mon coeur, je crie et je m'effondre, et alors que je meurs, tout mon corps crie à l'unisson, le nom tant cheri, de l'être m'a pris la vie...

Voilà une tite histoire en vrac, faites par moi même, en personnne...^^
Dites moi si vous avez aimé...

Mhmh.
Hochement de tête approbateur

Si je me souviens bien, ça faisait comme ça le début ....

Je courais pour échapper à mes assaillants. Je les entendais derrière moi, leurs gros pieds de porc martelant l'herbe, leurs respirations conjuguées en un seul cri :
"Chopez-la ! "
.Un seul pas de travers, une seule faute d'inatention causerait ma perte. Par chance, la forêt se dessinait au loin. Mais aurais-je sufisament de force pour arriver jusque là-bas ?
Ma peau se couvrait déja d'une fine pellicule de sueur, et je sentais la vitesse diminuer, l'écart entre mes poursuivants se réduire, l'ivresse de la course déserter mon esprit.

Il me serait tellement facile de me rendre. Mais rien que cette idée de me voir enchainée, impossible de courir les chemins ....
Devant moi, la falaise. Derrière, encore un de ces foutus "protecteurs de la Justice".
Pff, que des abrutis qui pensaient bien faire en emprisonnant n'importe qui.
Mais ils ne m'auraient pas. Tita Astréa ne retournerait pas en prison. Elle vivrait, libre, comme elle l'a toujours été.
Me retournant, les bras en croix, je leur adressais un sourire narquois avant de plonger dans les eaux sombres du lac, avec sur mes lèvres cette unique phrase :
"La vagabonde aux deux visages".

je sais pas si il faut que je continue cette histoire ... Mais si je la continue, vous la lirez, c'est sur et certain Very Happy

Dans le silence de la nuit, Elle se promenait, ombre dans l'ombre, on ne la voyait, et on l'entendait encore moins, cela faisait trois jours qu'Elle marchait, dans la forêt de Lianaque, sans s'arrêter...Non, Elle n'était pas en fuite, Elle était libre, ce qui etait nettement différent, Elle avait choisi de marcher, Elle marchait, heureuse, épanouie, et Elle partageait sa plénitude avec les arbres.Le vent agitait ses cheveux d'un bel acajou, ses yeux brilaient d'une détermination farouche, Elle était non pas belle mais magnétique, son visage aux traits fins et délicats répandaient autour d'Elle une aura de bonheur...Elle rayonnait dans la nuit, et Elle devenait lumière dans l'ombre...
Le ruisseau coulait dans une mélodie envôutante, chantant la pureté de l'eau et douceur de la nuit, et autour de lui s'épanouisaient d'étrange fleurs, aux pétales bleues en compagnie de vaillants roseaux...L'endroit respirait l'harmonie et la pureté...Lorsqu'Elle arriva, rien ne changea, Elle se moulait parfaitement dans la clairière.Vous auriez tort de croire qu'une simple humaine aurait pu changer cet équilibre, car en cet instant, Elle n'était plus humaine, Elle était harmonie, tout comme le ruisseau qui n'en n'était plus un...Lorsque qu'Elle se glissa nue, dans le léger filet d'eau, Elle devint lui, et il devint Elle, car dans cette clarière, il n'y avait pas plusieurs élément, non il n'y avait qu'un équilibre entre eux...Et cet équilibre n'était qu'un simple mélange entre harmonie et pureté, et ce n'était pas Elle qui allait changer cela...

Histoire née d'un rêve d'harmonie et de pureté...

La ville était calme, le silence qui régnait en elle était lugubre, ce qui n'allait pas c'était le trop peu d'éffervécence qu'on y trouvait, de çà de là des gamins couraient dans la poussière poussant des cris de temps à autre...parfois une charette passaient, on ne lui jetait pas un regard, dans les yeux des badauds il n'y avait aucune lueur rieuse, ou simplement gaie, non leur regard était morne, comme s'is avaient perdu le goût de vivre...Aussi lors-ce-qu'Il passa, personne ne cilla, Il traversat la ville d'un pas souple, pas qui aurait d'ailleurs du exiter leur curiosité, mais rien, pas une seule réaction....
Alors qu'Il sortait de la cité austère, Il se retourna, dans son visage les traits s'étaient crispé, comme s'il souffrait d'un mal intérieur. Comme le monde avait changé depuis son dernier passage dans Austère, qui ne s'apellait d'ailleurs pas ainsi à l'époque... Mais depuis bien lontemps les sourires avaient déserté les visages des habitants, comme il regretait le passé, mais peu importait car aujourd'hui prenait fin sa quête, sa quête de vengeance...Il étreignit d'un dernier regard Austère, et ouvrit la bouche...
La ville brulait, Lui pleurait...Ainsi s'acheva la vengeance du guerrier solitaire...Dans un crépitement hostile et une fumée épaisse, Il avait atteint son but, en effet aujourd'hui brulait la dernière des villes du monde, les gens savaient, d'ou leurs regards éteint, à la vérité il étaient morts depuis lontemps déjà...

Tout était perdu… Ton pâle visage était pareil aux morts… Normal, tu étais mort… C’était la fin, et j’étais une menteuse, je n’arrivai pas à tenir ma parole… « Tu survivras » avait été un mensonge… Toute ma vie, je t’ai traquée et maintenant, maintenant que tu meurs dans mes bras, je crois que je n’ai jamais cherché à te tuer… Durant ces derniers jours, j’avais été alertée par ton souffle rauque, devenu irrégulier. Les larmes venaient, brûlante et glacée à la fois tandis qu’un ciel pourpre ouvrait ses yeux ensoleillés. Un ciel de sang. Ce sang qui n’avait cessé de couleur que quand il était parti de ton corps. Il était trop bien pour toi lui semblait-il… Pour moi, tu valais mieux que lui, c’était Lui, le lâche, celui qui préférait fuir que combattre. Celui qui c’était mélangé à la terre humide, à mes larmes rageuses et à tes cheveux poisseux, à cause de lui… Le parfum de la mort embrumait mes pensées qui ne devenaient plus compréhensibles. L’air était chargé de cet odeur d’hôpitaux, là où tellement de gens étaient morts… Je me revois à ta porte, timide, et anxieuse à la fois… Tu avais ris, et là toute les sensations c’étaient mélangées… Je voulais ta mort, je te haïssais, pourtant dans mon cœur était caché la clef de tout… Amour, censée faire le bien… L’amour, censée être joie. L’amour, censée être éternité. Mais l’éternité c’est envolée. La joie c’est en allée, le bien c’est dispersé. L’amour c’est enfuit. Nuit étoilée, histoire ancienne, souvenirs, rêves fous, brides de sentiments oubliés… Et maintenant, comme si cela ne suffisait pas, la folie… Histoire de folie… La folie d’une menteuse assassine. Elle m’entourait, m’asphyxiait, m’écrasait… Puis après avoir penchée une dernière fois mon visage pour contempler le tiens, j’agrippais le poignard. Je ne voulais pas voir la mort, elle n’était rien… Je voulais vaincre la mort. Finir comme Cléopatre… Lentement, je me transperçais le ventre, puis l’épaule, enfin le cœur… Puis après un effort pour pauser mes lèvres encore tiède sur les tiennes, glacées, je mourus. Pour l’éternité…

Combien de fois allait-t-elle encore me le répéter ?
Je sais, on ne sort pas en pleine nuit, on pourrait me voir et l'on pourrait croire que je m'enfuis pour aller retrouver on ne sait qui ...
Mais cette mégère cette ... Cette ...
Certes, on ne peut pas dire qu'elle soit hideuse. C'est même le contraire.
Françoise de Rochechouart de Mortemart, Marquise de Montespan, "Athénaïs" était à 35 ans la beauté la plus éclatante de la cour. On ne sut jamais si c'était ses yeux, bleux d'outremer, son sourire ou tout simplement son esprit qui charmèrent le Roi, mais la preuve était là. Elle était mortellement belle.

Mais en ce matin de Juin 1675, cette ... femme me tapait sur les nerfs. D'autres noms plus grossiers m'étaient venus à l'esprit, mais j'ai préféré les taire.
" Si le Roi ne m'avait expressément fait la demande de vous garder, il y a longtemps que vous seriez partie en couvent, jeune fille ! "

Ce fut sur ces mots que la nouvelle favorite du Roi se retourna et sortit, me laissant seule. Même dans la fureur la plus totale, elle était belle.
Sitôt la porte refermée, je me précipitais vers le miroir, remettant mes cheveux blonds en ordre, vérifiant les cernes sous mes yeux bruns ...
Un extrait tout frais Smile

Toi aussi? Tu aimes le roi soleil et sa belle histoire?

Ma période préférée ...
bounce

+ AHHHHHHHHH j'ai fait une fautre trop affreuse affraid

J'ai Oublié Le c" majuscule à Cour

Je vais mourir je suis déshonnorée trahie et patati et patatrac tout vole en éclats ... What a Face

Des bribes de conversation
Dans le noir infini, des chuchotis.
Et puis, soudain, une voix. Une seule voix, reconnaissable entre toutes.
Ta voix, celle de celui que, des années durant, j'avais espéré, en vain, entendre.
La tienne, Père.
Les mots sont confus, je ne peux saisir leurs sens. Quelle ironie ...

Soudain , de l'eau. Je sens de l'eau sur mon visage. Non ... Non laissez-moi, je veux réentendre la voix !

Les bruits se calment, et me voila dans le silence à nouveau ... Mes yeux s'ouvrent d'eux même, contemplant la fenêtre où, incertain, le jour pointe.
" Vous m'avez fait bien peur, mademoiselle .. "
Ma tête se tourne ...

Ah mais je vous dirait pas vers qui se serait nul sunny

Acccoudée au bastingage, elle observait les flots, d'une paleur cadavérique, habillé
d'un tailleur noir et de bottines à talon, noires, mélange glauque de pâleur et de peur, monstre
d'horreur et d'effroi... Entrâvée... Mais sa pâleur semblait revivre aux vents, donnant une couleur rosée
à ses pomettes fines, elle n'était plus la sage secrétaire, aux ordres d'un homme pervers, devant les flots l'évidence
devint certitude, elle n'ira pas rejoindre son patron dans la cabine ou il attend, son heure.... Elle ne reviendra pas,
jamais, alors faisant fis du reste ne se concentre que sur la mer pour diriger ses pensées, aller à l'essentiel, ne pas penser au reste, juste l'eau, sous ses pied, elle le sait, et saute....

Louve

Cyrano de Bergerac Messages : 273 Date d'inscription : 04/07/2010 Age : 25

Que fais-je ? Dois-je mettre mon roman ? XD, non, pour vous, je vais un vent thé une hisse ! Toi re ! Pas écrite comme tel, je vous rassure. Je vais me glisser dans la peau de Bergerac, afin de vous écrire des vers, des vers en vrac...

"La nuit tombe. Les écureuils disparaissent.
Je me glisse alors entre les troncs, alors que la nuit et le vent me caressent.
Soupçon, je sillonne la forêt, écoutant chaque bruissement,
Chaque insecte, chaque murmure chuchoté par le vent.
Me tirant, m'attrapant et me chuchotant..."