Voici enfin le chapitre 4 ..... (en éspèrant que ça vous plaise toujours autant
)
Avant que vous ne commenciez votre lecture j'aimerai juste vous précesez que ce chapitre est ENTIEREMENT dédicacé à une des mes amies
(Louve sera la reconnaitre je pense
)
BONNE LECTURE....
Chapitre 4
Lorsque je revenu à moi et que mon esprit s'éclaira lui aussi,
je ne voulu y croire. Nous n'étions plus en Crète, comment
avions nous fait. Le premier indice qui me mit sur la piste de
notre localisation fut un panneau indiquant une ville nommée
Alexandrie. C'était presque inconcevable; et de toute évidence,
par le plus grand de miracle, nous avions réussi à traverser la
moitié de la méditerranée et toute l'île de Crète en planeur de nuit.
Mais une bien triste découverte nous attendait là, gisant sur un
sable humide rougi par se qui émanait de la jambe et de l'épaule
de Jill, agonisant depuis notre atterrissage. Moi, qui c'est reconnaître
une blessure affecter, celle ci pour le coup était propre contrairement
à celle incruster dans la carcasse inerte de la pauvre féline, morte.
Thomas, avait expressément fait garrot sur les blessures de sa sœur
et la portait dans ses bras fébrile de l'incident, lui cachant la disparition
brutale d'un être qu'elle avait vu grandir. Adieu, petite Isis. Ce disait-il.
On aurait cru que son cœur ne voulait plus du corps au quel il appartenait.
On pouvait littéralement entendre tous les battements de cet organe,
bien d'accort avec la conscience du jeune homme, qui, à l'idée de
perde sa sœur; suffoquait. Je ne vous parle même pas de la corps
de l'avion, cribler de balles.
Thomas conduit immédiatement Jill dans les ruines de l’hôpital
le plus proche, où l'on pouvais souvent trouver quelques médecin
rescapé faisant encore grâce de leur services. Arrivé dans ce lieu, qui,
normalement respire la mort, le formol, et le métal stérilisé. Ici tout étaient
différent, les odeurs ressemblaient plus à des litres de sang chaud et à des
trombes de larmes sortit des flammes de l’enfer, de quoi vous donner la nausée.
L’ambiance de chaos, de compression et la respiration qui nous perd
à chaque nouveau couloir était insoutenable.
Thomas bouscula alors une femme en blouse plus rouge que blanche.
C'est cheveux jouant avec des nuances à la fois de chocolat et d'or reflétait
la confiserie d'une rare beauté nouée d'un tissu blanc. Des traits, une silhouette
taillée harmonieusement, des mains de fée, des yeux à faire tombé des
lunes aux pieds de la jolie demoiselle. Malheureusement pour lui,
il était certain qu'il ne pourrai la croquer vu l'alliance qu'elle portait.
Ainsi que le ventre bien rond qui ce dissimulait sous les splendides coutures de la
belle enfant. Aussitôt, elle se releva, pas sans difficulté et interpella la demande de Thomas.
Elle s’excusa pour le désordre, se présenta comme une certaine Claire Dalesange.
Jules était trop affolé pour réagir à l'annonce qui pourtant allait lui faire comprendre
bien des choses. Il lui expliqua la situation et l'état de sa sœur, lui demandant
de l'aide. Elle acquiesça d'un mouvement de tête, nous avertie de sa profession
de chirurgienne et la chance que nous avions eu de tombé sur elle. Ce fût
le soulagement pour la personne qu'il était. Thomas lui demanda par la
suite comment remercier le geste de cette bénédiction. Un verre se conclut,
Claire accepta mais prévenu Thomas que ce rendez vous ne se fera que
en présence de son compagnon.
L'homme en question apparu alors; enlaçant l'amour de sa vie.
Bel homme, d'origine asiatique, avec la classe apparente d'un homme d'action,
cachant nettement derrière le pan de sa veste un colt à double canon et double
charge, entièrement en métal. Sensuel, jeune, musclé, taillé en V. Il
n'y avait pas à dire c'était le couple parfait. Ils partirent, l'homme laissa
tombé son porte-feuille sans volonté visible. Thomas s'en saisi et sur le coup,
jaloux et curieux de savoir qui il était; le lu. L'objet comprenait une carte d'identité,
une professionnelle, une photo de sa femme et de l'argent. Il s’appelait
Huimang Gwa Jayu, vingt neuf années d’existence, coréen. Né a Séoul, tueur à
gages renommé. Il en avait qui on vraiment beaucoup de chance, c'était injuste pour
de nombreuses demoiselles qui en avait rêvé d'homme comme lui...
Le jour suivant, le rendez-vous eu lieu. Tout ce déroulait à merveille, sans problème
apparent. Ce pendant Claire annonça à Thomas que Jill devrait rester en observation
au moins deux semaines. Mais ce qui frappa le plus notre aventurier de vingt deux ans,
est lorsqu'elle lui rappela son nom de famille...Dalesange... Il resta muet plusieurs
minutes puis ce lança. La question qui le tracassait sortie d'un bon et la réponse
qui en suivi allait lui faire un autre choque. Claire répondit favorablement à la pensée
qui lui fendait l'esprit. Oui, elle n'était pas d'ici, elle avait été adopter étant bébé.
Ses parents lui avaient annoncer le jours de ses dix huit ans; sa véritable identité.
Claire savait que ses parents biologiques était grecque. Elle n'a jamais essayé de les
contacter. Thomas lui dit son nom et son origine. Le frère et la sœur, enfin réuni et
cette fois les bras dans les bras, cœur contre cœur, âmes enlacé, larmes versées.
Par la suite, ils parlèrent du projet insensé mais réalisable du jeune homme bien
déterminer à finir le travail commencer et innover par Jill. Claire proposa quelques
petits avantages à son petit frère de comme le faite de garder Jill jusqu'à son
rétablissement totale ce qui lui permettrait de continuer l'aventure et de lui trouver
un moyen de transport pour le conduire plus vite à l'ancienne ville de Thèbes.
Thomas, curieux de savoir les propositions de Claire devint aussi exciter qu'un
chaton cherchant la mort de papillon. Jill accepta de rester au soin de sa sœur,
non sans regret de pas pouvoir aller plus loin de l'expédition entreprit. Puis
Claire les prévenus néanmoins, que dans un mois, elle devra quitté le pays pour
aller s'installé dans le pays natal de celui qui avait conquit son cœur et donner un enfant.
Durant ce petit moment où beaucoup avait été révéler au grand jour, elle nous avait aussi
parler de son polichinelle dans le tiroir. Cet petit être qu'elle avait tant voulu, fruit de leur
union et qui découvrirait un monde détruit, ce bébé, allant naître dans quelques mois à l'issu
d'une famille heureuse, s'imbibant d'un soleil levant. Regarde toujours dans la direction du
soleil levant et tu ne verras jamais l'ombre derrière toi. Ce proverbe japonais, issu d'une
magnifique culture inspirait beaucoup la douce jeune fille qui dans peut de temps mettrait
au monde, le présentant à la lumière émanant des enfers d'une catastrophe nucléaire,
un magnifique bébé rayonnant de splendeur. Reflétant sûrement les nombreux atouts
génétiques transmit par la plus radieuse femme que le jour eu le bonheur de contempler
durant sa courte vie aussi éphémère et répétitif. Mais n'oublions pas non plus le charme
et l'intelligence plus que maligne du paternel, qui, on l'espère jouera en faveur du petit...
et voilà (si ça vous a plus dite le moi et je posterai le chapitre 5 ! )
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Mar 5 Juil - 6:26
T'as piqué les mangas de Nono toi^^