Et voici le chapitre 2... (mon préférer
)
(excusez encore les fautes)
BONNE LECTURE
Chapitre 2
Ce matin était celui de notre départ (Vous devez vous demander pourquoi je dit « notre départ » ?
Tout simplement parce que moi aussi je voulait vivre l'Aventure avec un grand A) on aurait dit que le soleil
nous encourageaient; ce dernier c'était lever très tôt (ce me qui permis de me dorer un peu la pilule avant l'effort)
nous montrant ainsi sa plus belle aurore, qui scintillait avec une telle puissance que cet éclaircissement
semblait tout droit sorti d'un conte de fée pour enfant de plus 36 mois (attention !) Jill et Thomas se
munirent (d'une lampe à dynamo, d'un vieux fusil; qui; pour mes 50 premiers yeux semblait presque avoir rendu l'âme,
ils prirent aussi de quoi dormir, se chauffer, couper et s'habiller.) Mais alors que je regardait la scène quelque chose me frôla
violemment. Cette créature voulait m'attraper et même me manger! C'était Isis leur petite fennec
(appelé ainsi pour rappeler leur terre natale).
Mais le bougre d'animal jouait intensivement avec mon pauvre corps; attaqué une
Panorpa lacedaemonia Lauterbach de l'ordre des Mécoptères était très dangereux parce
que mon espèce ne s'appelait la mouche scorpion pour rien. Heureusement ou pas, un
papillon passait par là et se fit mangé ou plutôt gobé par l'infâme déesse.
Sa jeune maitresse la rappela à l'ordre de suite.
Nous étions enfin partit, mon coeur battait plus fort à chaque mouvement d'aile que
je produisait mais enfaite où allions nous ? J'entamais donc une décente vertigineuse,
passant au dessus de l'épaule pour atterrir sur la carte en essayant de ne pas perturbé
l'humain qui s'en instruisait. Cette représentation plane semblait être celle du pays
antique des pharaons, dieux, hiéroglyphes, coutumes et énigmes en tout genre.
A priori, je crois que c'est le pays favori de l'auteur de ce livre mais chut...
Nous devions parcourir environs 2700 km pour rallier Athènes au Lake Nasser
où leur grand mère avait une petite maison. D'après Jules, nous devions arrivé là-bas
au bout de 70 jours environ. Notre voyage se déroula ainsi; nous irions d'abord dans
un port appelé Le Pirée (4 km) où nous prendrons un bateau pour Héraklion
en Crète (700 km) puis directions Kératokambos (34 km).
Ensuite de nouveau on naviguera en ce rendant à Alexandrie (1700 km),
arrivé là bas nous nous rendrons au Caire (100 km). Pour finir une halte à l'ancienne
ville de Thèbes (170 km) s'imposera au programme. Tout ça pour arrivé
dans la petite ville de Wadi El Seboua où vivait leur grand mère.
Le temps ne se prêtais décidément pas à nos convictions. Car le monstre
atomique avait aussi chamboulé les saisons et la météo . On sait tous que
les saisons permettent beaucoup de choses comme le développement de certains
végétaux ou le bon fonctionnement des climats terrestres. Regardez moi, une mouche
qui vit encore, alors que mon espérance de vie n'est que de 17 jours. Je suis là depuis
une quinzaine d'années! Tout avait été chamboulé, maintenant les magnifique
paysages avait laissé place à un chaos qui n'avait pas épargné la moindre petite fleur.
A peine ma vie avait commencé d'éclore que je tomberai bientôt comme une fleur
qui n'a jamais vu aurore. L'aurore d'un monde que je ne connais que par les livres
et les histoires, mais que l'imagination des hommes a gâché. Me privant de l'âge
où les oiseaux chantaient sans crainte d'être manger.
Personnellement, je crois que l'imagination est le plus beau des cadeaux
empoissonné dont l'on puisse hériter. C'est une qualité qui généralement épate les autres
et qui te permet de crée de nombreuses choses... malheureusement c'est aussi un des pires défauts.
Lorsque vous entendez une histoire ou un conte ou même quand vous regardez la télé, votre cerveau
emmagasine toute ces informations. Et la nuit il élimine toutes les mauvaises choses.
Sauf que pour ce remémorer la journée il crée les rêves mais plus on a d'imagination
plus on peut s'invente de choses... les cauchemars...
Après cette courte page de d'opinion personnel reprenons notre course. Sur la route vers le port,
Thomas se mit à chanté quelques poèmes dont il se souvenait, Jill l'écoutait avec attention
comme si son esprit était absorber par les sages paroles de son frère.
Sur le chemin de cet ancien lieu de commerce nautique, de nombreuses choses m'avaient troublé
comme le faite que je ne sentais aucune présence autre que celle de mes acolytes.
En tant êtres vivants, nous sommes tous dotées d'un sixième sens non développé chez
l'espèce des humains mais acquis dans toutes les autres même végétales. Ce sens permet de sentir
la présence de certaines choses que les yeux ne captes pas. Et, oui, ils faudra vous y faire.
Vous n'êtes pas les plus développé; vous êtes juste prétentieux, jaloux, égoïstes et égocentriques !
Les seules choses que vous avez réussi à développer c'est une multitudes de langages compliqués,
certaines croyances et certaines de vos idées dévastatrices et une organisation aussi remarquable
que complexe et inégale. Faire parti de la chaine alimentaire ne vous a pas suffit. Il a fallu que
vous détruisez aussi l'habitat de vos victimes et que vous en fassiez des esclaves. Le jour où
presque tous nous vous étions soumit, vous vous êtes mis à vous juger entre camarades,
à vous classez, déjà que les humains étaient des monstres, ils n'ont fait qu'empirer. Son alors
apparut les races, les parias, certains on été appeler « noirs » d'autre « jaunes » d'autre « blanc »
ou encore d'autre « handicapé » ...N'avez vous pas honte... On est tous les même et même si
nous sommes différents nous avons tous un coeur, une âme, une tête, des jambes, des bras,...
Mais tous n'es pas négative chez vous, il y a quelques petits caractères humain que j'apprécie.
Celui qui me touche le plus est un trait que tout les organismes vivants possèdes. Mais les vôtres
ont réussi à en faire un atout, un pouvoir, qui a le don de vous modifiez, de vous rendre paisible ...
l'amour, la fraternité, l'entraide., le respect (bien souvent bafouer)..
Plus vous aimez, plus vous êtes heureux, plus vous vous reproduisez, plus vous colonisez le territoire,
plus vous avez de pouvoir.
La famille de Jill en était le parfait modèle . Voici quelques informations que mes vols nocturne
m'ont permit de recueillirent à la vue de divers papiers ayant survécut. Je savais exemple, grâce
au livret de famille, que Mathieu Scrolk était d'origine Allemande et travaillait comme professeur
de lettre lorsqu'il c'était marié avec la jeune et jolie Elsa Dalesange journaliste pour un quotidien.
Il c'était unis le 16 janvier 1995 pour le meilleur et pour le pire, surtout le pire... Un ans plus tard,
jour pour jour le couple conçut une magnifique petite fille. Un beau bébé qu'ils avaient tant voulu
et qui aurai dû combler leur coeur et leur bonheur. Mais quelques jours après la naissance de cet
être si fragile, découvrant à peine la joie de vivre; ce bébé prédestiné au prénom de Claire fut
enlever et personne n'eut jamais retrouver le corps, ni détecter la présence du nourrisson. Le père
de Jill avait gardé quelques photos de Claire et certains articles de journaux qui avait commenter l'affaire.
Après ce tragique accident les deux tourtereaux mirent 5 ans avant de donner la vie à Thomas.
Mais les deux jeunes personnes savaient que cet enfant ne remplacerait jamais celui qu'ils avaient
perdu. Ils attendirent donc huit longues années de cogitations avant de concevoir Jill. Durant ces
huit années le jeune Thomas ne comprenait pas pourquoi ses parents ne lui offrait ni affections ni
aides et que de tristesse... puis la catastrophe nucléaire fut son apparition. Rares étaient les enfants
de l'âge de notre héros à avoir survécu. Lorsque le vif garçon apprit l'arrivé d'une fratrie, il porta dès
lors toutes l'affection et l'attention qu'il n'avait pas eu sur ce nouvel arrivant. Maintenant qu'en
je vois comment l'homme qu'il est devenus veille sur ce qui lui reste de famille, une petite mouche
comme moi ne peut repensez à cette qualité qu'est l'amour. Quel sentiment fantastique, il peut
vous rendre fou, il peut vous faire changez en l'espace d'une journée.
...
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Mar 21 Juin - 8:05
c juste que je ne savais pas quel animal prendre 
Je sors. (oupas)
