La saga des poèmes Elina

Bonjour/bon soir/ bon appétit.

Juste deux petiits grands poèmes en rapport avec l'histoire d'Elina.


Tes mains virevoltent sur le piano
Tu n'es pas consciente des personnes qui t'entourent
Je te découvre.
Tes yeux se ferment
Et tu joues
Belle de jour

Je t'aime, de tout mon corps
De tout mon être.
Ces roses sont là pour le prouver
Elina, je te vole un baiser.

Tu renies mon amour
Mais j'ai mon idée
Un mariage arrangé.

Cette bague à ton doigt passée
Ta présence à mes cotés
Mais
Tu me fuis, ma nymphe.
L'absence de tes parents
Partis depuis plus longtemps
Qu'ils ne te l'avait dit
T'inquiète.
Tu es si rebelle
Etoile éternelle.

Tu me fascines
Petite lutine
Je ne pouvais pas deviner
Que sous tes airs de statue vivante
Se cachait un amour brulant
Tu me rends fou.

Tu es partie
Dans la nuit
Tes yeux mauves aux reflets d'acier
telles des lames acérées
Semblaient me poignarder.
La morsure de la douleur
Me rends fou,
Mais mon amour est intact
Je t'attends
Déesse qui cause mes tourments.

Après de longues années
Où
Solitaire
Par la douleur aveuglé
Je t'attendais
Tu ressurgis, mon aimée.
Ô Elina, pourra tu jamais me pardonner ?

Trahie
Tel est ton état d'esprit
Ce poignard contre ma gorge en est la preuve.
Je t'embrasse, tu t'enfuis
Nos bagues dans la main.

Trahi
Je le suis.
Tu t'es fiancée devant mes yeux
Je suis malheureux
Un compositeur d'une vingtaine d'années
Qui jamais ne pourra m'égaler.
je ferais tout pour te retrouver
Pret jusqu'a l'assassiner
Comme je l'ai fait avec tes parents il y a de nombreuses années.

Je te coince un soir
Te rends
La cause de mes déboires
Une partition inachevée.
La tienne.

Te voici de retour
Chez nous
Pour me rapporter
Un concerto terminé.
Tu m'échappes, fragile illusion
Ma victoire
N'en aura que plus de mérite.

Ton talent
Est par moi arrivé
Jusqu'a des oreilles bien placées
Tu risques, mon idylle
De devoir affronter
Ce que tu hais
La popularité.

Ton mari est déchu
Son opéra interdit, annulé
Et pourtant, tu continues de l'aimer
Oh Elina Pardonne moi
Reviens moi !

Après de nombreuses années
Je te retrouve au chevet
De ton amant.
Tu pleures, fragile créature
J'ai réussi
A te ramener à mes cotés.

Tout est fini
Terminé.
La mort de cet homme
Que tu as tant aimé
T'as désolé.
Tu es morte dans mes bras
Mon seul
Mon unique amour
Elina.

Rumeur d'ombre
Plume de vérité
Je joue dans la lumière
Ma musique acharnée.

Tu es mon aîné
Je vois
Que tu m'admires
Que tu me suis
Que tu m'aimes
Ce baiser
Est la preuve
Que j'ai longtemps refusé
D'admettre.

Tu m'as tuée
Tu as emprisonné
Dans cette bague
Toutes mes pensées
Mes certitudes
Mes idées
Ma liberté.

Est-ce vrai ?
Peut on aimer ?
J'ai pleuré, tant de fois pleuré
Tout au fond de mon être j'ai refoulé
Ce désir insatisfait
Qui as surgi.
Tu m'as ensorcelé
Avec tes mots
Tes baisers
Tes gestes parfaits.

Je t'aimais
Tu m'as trahie
Je ne te le pardonerais
Jamais.
Mes parents
Tu les as tués
Ô toi que j'aimais.
Je me sens morte avec eux
Adieu.

L'amour existe-t-il vraiment ?
Je le crois à présent.
Je me rappelle notre rencontre
Cette nuit d'été
Ton nom
Cent fois murmuré
Par mes lèvres rosées
Je t'ai attendu

De Mannheim à Paris
Tu as voyagé
Et moi aussi.
Mon coeur fissuré
A réeussi, en quatres années
A se réparer
Autour de ton visage parfait.

Il réaparait
Ce félon,
Cet imposteur
Ce tueur.
Il me tue une nouvelle fois
Son regard fou de moi
Me glace, et tu recules

Je t'aime
Seul cela importe
Mon corps t'appartient
Ces bagues à nos mains
En sont la preuve
Je suis Ombre
Tu es ma Lumière.

Il m'as attiré dans un piège
La partition que j'ai chez lui oublié
Il me l'as rapporté
Il a tenté de me ramener
Chez lui
Chez nous
Il m'a condamnée
A terminer
Mon chef-d'oeuvre inachevé.

Tu me coinces,
Maudit démon
A une représentation
Tu le sais, je déteste ça
Pourquoi l'as tu fait ?
Je ne veux pas briller
Je suis une ombre
Silhouette d'arrière-plan
Qui tourbillone
Brume de pensées

Il est mort
Tu l'as tué
Tu nous as ruiné
Je ne pourrait jamais vivre
Sans lui.
Tu n'es qu'une erreur
Un Compositueur.
Moi l'ombre, je quitte cette terre-là
Moi
Elina.

Elina

Tu es née de rêves
Faite de sentiments entremêlés
Ton histoire brève
S'est écrite entre deux pensées

Forme immatérielle
Tu ondules au rythme de mes idées
Histoire éternelle

Ta passion, pendant de nombreuses années
M'as habitée
Sans que je puisse y poser
Un nom, une mélodie
Une phrase rêvée
Seul persistait l'envie.

Voila ce que tu es, Elina
Un larme qui à coulé dans mon encre
Une femme faite de papier enflammé
Une braise dans la glace de mon coeur.

J'ai aimé lorsque tu aimais
Vécu lorsque tu vivais
Mais aussi pleuré, beaucoup pleuré
Lorsque tu pleurais.

Aujourd'hui j'ai reposé ma plume
Rangé ton histoire dans mon coeur incendié
Achevé ta destinée
Pourtant, lorsque j'ai écrit la fin de ton épopée
Je m'était promis de ne pas pleurer
Mais une part de moi
Est morte avec toi.

Elina n'oublie pas
Ta soeur de pensées
Qui te suivit pendant de nombreuses années
Tu l'as sentie rôder
Tu l'as imaginée
Sans parvenir
A la décrire

Elina,
Ne m'oublie pas.

j'ai fini d'écrire l'histoire d'Elina, ce poème est à sa mémoire.

Un autre Elina

Elina

Je dépasse les grilles de la ville maudite
Tandis qu'au loin dans la nuit retentit
Un cri
" Elina ! "

Je ne peux pas
Je ne veux pas
Me retourner
Je ne veux pas
Y retourner

Je te hais,
Salieri
Je te hais
Tu m'as tuée aussi

Mon coeur t'appartenait
Et pourtant tu n'étais
Pas satisfait
Il te fallait
Les tuer
Pour pouvoir me garder.

Et, alors que mes pas m'emportent
Loin de toi
Je sais que, quel que soit la porte
A laquelle j'irais toquer
On saura
Me soigner, me purger
De cet amour malsain que j'avais pour toi.

Forêts et rivières se succèdent en un tourbillon ininterrompu
De l'aurore au crépuscule
Les villes, depuis longtemps je n'en vois plus
Je galope, enfermée dans ma bulle

Le sommeil me fuit
Mes pensées reviennent immanquablement
Vers toi, Salieri
Je sais que jamais mon esprit ne ment

SI je pense à toi
Quand mon corps
S'assoupit dans le froid
C'est que je t'aime encore

Je .. Je ne veux pas
Pleurer pour toi
Et pourtant la pensée de ton visage souillé
Par des larmes qui ont tracé
Des sillons sur tes joues que j'ai souvent caressées
M'est insupportable.

Je te hais
Et pourtant voudrait
Pouvoir t'embrasser
Pouvoir me blottir dans tes bras pour l'éternité

Déchirée
Je suis une femme partagée
Entre l'amour
Et la haine

Amour pour toi
Haine de toi

Amour de l'ange tueur
Haine de l'homme menteur
Amour et haine confondues,
Mon coeur n'en peut plus
Et pleure

Amour et haine confondues
Je ne suis que ça
Corps et âme dédiés à toi
Moi, Elina

Ange tueur, homme menteur
Compositueur
Je ne vis que pour toi
Salieri, pardonne-moi !

Amour et haine à jamais unies
En mon être partagé
Ange et homme réunis
E toi
Salieri.

Mais je ne me retournerais pas
Et lorsque la morsure de la haine s'emparera de moi
Je repenserais à toi.

C'est juste beau, sublime!!!

Elina


Rage, mère de la vengance
Rage, pleurs de la chance
Tu te blottis en mon corps
Guettant ma retraite
Guettant ma mort
La mort de ma joie
La naissance de ma tristesse
Et là, femme fatale
Tu me poignardes dans le dos
D'un unique coup de couteau

Jamais de face à face
Juste un résidu de ta trace
En mon sang de vivre
Jamais de place
Pour la joie
Dans le tigre
Dangereux et nefaste
De ce qu'elle fut autrefois

Râge, ô toi le volubile sentiment
Qui tient entre tes ongles ardents
Ma sérénité
Tu empoisonnes mes pensées
tu m'habites
Tu me hantes
Tu existes
Et, contre toute attente
Tu me tues à petit feu
Grignotant
Mes couleurs
Mes amours

Seuls subsistent les douleurs
Douleurs d'un jour
Pluvieux où je m'étais arrêté
Voler ce précieux baiser
Douleurs de toujours
Mon amour rejeté
Pour quoi t'ai-je laissé
Partir ?
Je suis vide sans toi
Je suis mort sans toi.

Rage je viens
Rage tu me tiens
Compagnons de douleurs
Couleur d'humer
Aide-moi à me venger
Aide-moi à triompher
De cette empoté
Qui me l'as ravie

je le tuerais
Il me rends fou
Je te crierais, mon amour
De toujours
je te crierais
Reviens chez nous

Je veux t'avoir
Je veux t'aimer
Je veux te revoir
Je veux t'adorer

Rage tu me suis
Rage je te suis
Tu me rends fou
Tu me tues d'un cri doux
Qui porte le nom de mon aimée
Tu le cries de sa voix
Et tu cries
Elina

Au départ il s'appelait rage

Elina

Voila maintenant
6 ans
Que j'avais arrêté
De considérer
Vienne comme ma ville

Et pourtant m'y revoilà
Et, comme autrefois,
Je parcours les ruelles sombres
Me blottissant dans l'ombre

Je ne me sens pas changée
Par rapport à ce à quoi je ressemblais
A mon départ ...

J'aperçois une lueur dans la maison
De l'homme que j'ai aimé
Et, si mon esprit me dicte de faire attention
Mon cœur m'encourage à frapper

Indécise je me stoppe sur le palier
Et, sans que je puisse
Me retenir
Mes larmes se mettent à couler
Salieri, mon dieu, que de mal je t'ai fait !

Un rideau s'entrouvre
La fenêtre s'ouvre
Un cri, une voix
Un seul mot
" Elina ! "

Je me relèves, et fuit
Dans la nuit, tandis
Que te restes effondré
Sur le palier
A sangloter

Salieri, pardonne-moi
Je ne peux pas
Tirer
Un trait
Sur le passé
Haine et amour pour toi entremêlés
En mon corps déchiré.

Elina

Une simple robe de taffetas
Lilas, et pourtant tu resplendis
Déesse de mes nuits
Qui n'as pas vieilli
Elina ...

Te voila, fragile et effacée
Obligée de révéler
Ton talent à l'assemblée

Magie
De la vie
Ou simple mouvement ?
Ce baiser ...
Je sais
Que ce n'était
Pas un hasard

Ô joie !
T'avoir dans mes bras
Ne plus avoir à te lâcher
Si c'était un rêve
Je me serais déja réveillé ...

Ma vie est désormais
Un rêve éveillé
Maître de la chapelle impériale
Et je t'ai ramené
Et je peux te garder
A jamais

Je crois rêver
Pourquoi ... Pourquoi m'as-tu attiré
Dehors, pour m'embrasser ?
Je te croyais
Prête revenir habiter
Chez nous
Mais ce n'était
Qu'une idée
De plus partie en fumée ...

Elina ...
Je sais ce que tu ressens
Je sais comment
Tu te vois maintenant
Pars .
Pars loin de moi
La douleur me tuera
Mais je saurais
Sans doute m'en relever
Après tout, c'est
Ce que tu as ressenti
Quand tu as appris
Leur mort.

Elina, si je pouvais effacer
Ce que j'ai fait
Sache que je le ferais
Mais le passé
Ne peut être changé

Je vais vouer
Je vais te dédier
Mes musiques
Mes opéras
A toi ...

Un créé en étude, bon le thème classique des poèmes Elina ...

J'ai trop longtemps Vécu
Dans l'attente de ton retour
Trop longtemps attendu
Que tu reviennes éclairer mes jours

De toi je ne veux
Que ton amour sincère
Me plonger à nouveau dans tes yeux
Fuir cette solitude amère

Mes concertos
Je te les ai dédiés
Toutes mes idées
Je les ai noyées
Au fond de l'eau
De la rivière
Claire ...

Mais, jamais
Je n'ai autant espéré
Pouvoir à nouveau te sentir
Te toucher et t'aimer ...

Je ne sais ce que tu es devenue
Mais je sais qu'en ta revenue
Il faut y voir
Plus qu'une lueur d'espoir ..

Que je sois réduit à néant
Si,
Un seul instant
J'ai cessé
De penser
A ta vie ....

Je suis mort à ton départ précipité
Et revis,
Émerveillé par ta beauté,
Dans tes bras aujourd'hui ...

Elina
Princesse de mes nuits
Illusion de ma folie
Jamais je n'ai cessé
De t'aimer ....

Je le sais
Tu m'aimes encore
Et je voudrais te hurler
Que je t'adores ....

Trop de temps passé
Trop d'amour masqué
Je ne veux pas continuer
A te mentir sur la vérité ardente
De mes sentiments

Te résister
A tout prix
Pour apprécier
L'amour que tu m'offres, la place que j'ai dans ta vie ...

T'aimer
Sensation fugace qui m'invite à me réveiller
Pour mieux contempler
Jour après jour ton visage parfait ...

Un an
Après
T'avoir rencontré
Je suis à toi, mon amant ...

Lorsque ce soir la lune illuminera
Le ciel
Cette nuit-là j'aurai vingt ans
Je ne suis pas éternelle
Et je ne pourrais que contempler tristement
Le firmament
Où tu étincellera ...

Rien n'est plus amusant
Que de te voir, plus décevant
Que de devoir
Te repousser encore

Envoyons valser mon masque de haine figée
Et laissons l'amour nous emporter
Vers cette île oubliée
Où tu veux tant aller ...

J'ai vingt ans
Maintenant
Et, Salieri
Je veux qu'à jamais cette nuit
Reste ainsi ...



Pas douée la Mathilde

[bis]

Bon, j'ai envie de m'y remmetre, mais un peu la flemme de chercher dans mes documents ... Mais je vais les retrouver, pormis ! ( oopas )

Ma plume court sur le papier
Poussée par mes rêves oubliés
Et désespérément
Je l'attends
Cette ancienne
Ritournelle
Que tu fredonnais
Autrefois
Dans mes bras

Tu n'avais
Qu'un mot à me dire
Pour qu'après
Je cède à tous tes désirs
Mais jamais
Tu ne l'a prononcé
Tu te contentais
D'en rire
Et dans ton sourire
Je ne pouvais que t'approuver

En quoi m'épouser
Peut à ce point te terrifier ?
Je ne suis pas un monstre de cauchemar
Je ne suis pas un ivrogne qui rentre tard
Le soir
Après t'avoir trompé
Avec ces catins pourries par le mal français

Comment pouvais-je seulement les regarder
Ces femmes, alors que je t'avais
Toi et tes mots mystérieux
Toi et tes yeux
D'améthyste aux reflets d'acier
Troublés
Par les larmes que j'ai provoqué ...

Et puis ce vide, ces flammes
Qui dévorent mon cœur
J'ai peur
De moi, de ces larmes
De ces pleurs
Qui troublent mon sommeil
T'aimer, et la douleur
N'est qu'un reflet de ma peur
De te perdre ...

On chuchote ton retour
On se tait
Et moi, pour toujours
Je sais
Que ce n'est qu'une illusion destinée
A me faire douter


... Heu, si je vous dis que c'est le troisième que j'ai fait il y a longtemps, vous me croirez ?
Non ?
Pas rave

Je le sens mal ton

M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E!!!!!!!!!

Ma prof de français a dit que ces poèmes était cré bien *tirageu de langue ^^ *

Lame qui entre dans le cœur
Fatale erreur
Elle se bat
Contre le vide
Déjà l’assassin n’est plus là
Et c’est seule qu’elle se vide …

Dans un ultime cri déchirant
Sa première goutte de sang
Devient mare, puis océan
Où nage l’amour du poison
Qui la ronge …

Le temps pour elle
Devient un instant éternel
Et elle glisse
Accompagnée
Par le son redouté
De ses mains qui crissent
Sur les pavés
Ensanglantés.

Dans ce même cri déchirant
Loin d’ici, une douleur fauche un autre présent
Dont le corps, mutilé par l’ivresse
D’un autre, s’affaisse.
Doucement
La tristesse devient mare, puis océan
Et le rire se blesse et s’abîme dans les abysses noires
Où jamais plus ne fleurira l’espoir …

Deux femmes unies
Réunies
Par la fuite de leur vie …

Oui mais voila, l’une d’elle par l’autre est haïe.
Pour ce qui lui est infligé
Elle se relève pour se venger …

Une mare de carmin devenue océan
Un poisson sanglant
Qui lutte contre la mort
Encore …

Au fond d’une ruelle
Un fantôme appelle
Et attend.
Eternellement ?

Je vais poser une question.

Qui est "les deux femmes"? ^^

Je sais paaas ^^